lundi 31 août 2009



Le misérabilisme vient de l'égoïsme.


Libre de vivre, libre de donner, belle leçon d'un misérable qui aime la vie.


Eclaircissement d'une notion fondamentale, celle d'être libre de vivre.


Il faut reposer son esprit sur des certitudes venant du fond de son être.


Liberté, égalité, sensualité et surtout créativité.


Le choix de mourir permet d'atteindre son but sans violence.


On se sent libre lorsque le but est atteint.


La vie permet de rebondir.


La vie est trop courte pour l'écourter d'avantage.


Bilan d'un rêve où l'homme a une place centrale.


Le libre-arbitre est une notion fondamentale dans l'art.


L'oubli de soi veut dire création d'un monde.
Créer exige don de soi et souffrance.


L'expression artistique a une éthique, celle de créer.


L'idéal serait de permettre aux gens d'exprimer le beau par l'art.


Prise de vue sur un cadre idyllique et beau.


La décence de bien dire les choses permettent une amélioration d'une vie cahotique.


La sainteté commence par l'humilité.


La pitié et la condescendance sont antinomiques.


Les misérables sont ceux qui connaissent ni pitié ni amour.


Les belles tombes sont sans nombre mais celle d'un grand homme est toujours simple.

Instant précieux d'une vie simple et misérable.


Van Gogh, empereur d'une prise de vue colorée et durable.
Instantanné d'un temps où le peintre était roi.



L'espace réduit de mon apareil fait des images tronquées.

L'allié du photographe est le lieu car son espace est réduit.
Moment précieux d'une période ensoleillée.


Le plaisir de saisir un instant intense.


La simplicité est un allié dans un monde où tout va trop vite.


Instant inscrit dans une période cruciale d'une vie simple.


La conscience de soi est de savoir s'estimer.

J'aime songer aux conséquences qui s'enchaînent d'une façon harmonieuse.

L'abstraction ser à avoir une autre dimension d'une vérité non établie.


Le choix d'avoir quelqu'un à ses côtés, même dans l'au-delà.


On ne choisit ni de vivre ni de mourir.
Il devrait avoir la liberté de mourir comme celle de vivre.

Une vérité première est toujours bonne à dire, sinon c'est pire.


L'inconscient travaille jour et nuit.
L'acte de mourir peut nourrir des peurs et des douleurs.
La mort est un passage et non pas une fin en soi.


La réalité peut être trop banale, c'est pour cela qu'on voudrait y échapper.


Le mysticisme est un acte manqué d'une réalité trop terre à terre.

dimanche 30 août 2009



Ce que tu trouves laid est peut-être beau pour la majorité.


Conférence au sommet entre la conscience et la matière.


Le physique et l'intellect se réunissent dans une seule matière, l'Homme.


La complexité de l'homme réside dans son abnégation et non pas à l'obeissance de ses pulsions.


Ce que j'aime le plus c'est l'âme en repos et non pas le repos de l'âme.


Seconde d'extase devant un paysage apartenant à Dieu.
La solitude existe lorsque notre coeur est sec.


Librement choisi, l'âme ne peut s'enfermer dans un problème insoluble.